Bruxelles, 16/02/2012
CONSÉQUENCE DE L’AUSTÉRITÉ IMPOSÉE
Chaque jour, 9.000 travailleurs ont perdu leur emploi !
«Ce pays traverse non seulement une profonde crise économique mais aussi une crise sociale: l’utilisation du licenciement en tant que principal mécanisme d’ajustement à la baisse de la demande est devenue la norme.»
«Le taux de chômage recensé au cours du mois de janvier est la première confirmation que le marché du travail continuera à se détériorer en 2012.
»
{{Plus de deux millions de personnes dans tout le pays disent non à la réforme du droit du travail du gouvernement
UGT - CC.OO}}
Source: El País (Ministerio del Empleo)
{{DES ALTERNATIVES EXISTENT }}
«Ces réformes ne répondent pas aux intérêts généraux de notre pays, mais elles sont dictées par les intérêts financiers. Notre pays mérite une autre politique. »
« Le licenciement sera plus facile et moins cher et la réforme légalise une nouvelle forme de contrat qui permet de licencier plus facilement, tout en limitant les droits collectifs des travailleurs et en augmentant le pouvoir discrétionnaire des employeurs ». « L'origine de la crise n'est pas à rechercher ni dans le marché du travail ni dans le maintien de l'Etat providence ».
On a besoin d’une autre politique
• Des emplois durables plus nombreux et de meilleure qualité;
• L’accès à l’éducation, à la formation et aux emplois;
• Des investissements dans un bon système d’éducation depuis la petite enfance jusqu’à l’enseignement supérieur;
• Les contrats à durée indéterminée doivent rester la norme .
La CES exprime sa solidarité et son total soutien